MENDE en passant par l'auvergne week-end du12 octobre 2008

Nous partîmes en bonne santé, nous revînmes........................... fatigués.
Il est environ 14h30mn lorsque nous nous retrouvons, Romu, Yoan, Cédric, Gilles et moi.
Cédric et Yoan dans le Partner avec le 450 WR, Gilles et moi dans la 205 de Romu.
Direction l'Auvergne.
L'étape du vendredi soir chez le François nous fût fatale. Aucun d'entre nous ne se souvient avec certitude de la fin de la soirée............
Bref, le lendemain matin, après un copieux petit-déjeuner fait de boudin noir, tarte à la couenne et autres plats bassement calorifiques, nous reprîmes la route vers MENDE.
Quelques kilomètres plus loin, nous nous sommes arrêtés boire un coup dans un troquet. Et là le Yoann fût grandiose. La patronne toute acquise à notre cause ne nous laissa pas tombé, et nous servit quelques rafraîchissements bien mérités.
Lorsque nous arrivâmes à MENDE, le groupe se scinda en deux: les plus courageux optèrent pour aller admirer les protagonistes dans une grimpette somme toute pas si impossible que ça, et les autres (grosses feignasses) s'étalèrent lamentablement dans une prairie sur laquelle se courrait une spéciale, avec le soleil sur la tronche.
Nous érrèrent lamentablement ainsi jusqu'au soir. Soir ou nous finîmes par atterrir dans un restaurant dans lequel je peux écrire que nous avons correctement mangé, mais alors au niveau pinard je préfère encore boire je sais pas moi......... eueueueuhhhhhhhhhh............. un coca........... Voilà, c'est dit........
De retour à notre hôtel restaurant 24 étoiles, à 15 bornes environ de MENDE, une tablée bien "partie" parlait à voix plutôt haute.
Dans l'entré menant aux chambres, une délicieuse fouine ou peut-être belette empaillée trônait fièrement.
Ni une ni deux, en un tour de main la bestiole se retrouva juste derrière la porte séparant le couloir principal du couloir menant à nos chambres.
Bien évidemment, quelques temps plus tard dans le milieu de la nuit, lorsque les festoyeurs en eurent terminé de leur ripaille, le premier d'entre eux qui ouvrit la porte tomba nez à nez avec le magnifique objet et vociféra un juron que je ne peux dévoiler içi.
Le lendemain fût une journée somme toute........normale avec un casse-croûte le midi trèèèèès comment dire eeeuuuuuuuuuhhhhhhhh bon enfant.
Le retour vers notre Normandie en repassant par chez notre ami François me paraîssa vraiment long. Nous aurions été mieux inspiré si nous avions pris notre lundi.
La prochaine fois, François je crois que nous passerons une seconde nuit dans ta superbe maison.